• Durant l'esté, par le vergier grillé,
    Les tendres fleurs sous la nuit blandissante
    Vont redressant leur tresse fanissante,
    Qui ja pleuroyt son honneur depouillé.

    D'amour ainsi mon esprit travaillé,
    Qui ja quittoyt ma vie languissante,
    Reprit vigueur par la force puissante
    Du restaurant qu'ores tu m'as baillé.

    Doux restaurant, dousucrée...