• Vous languissez, mes vers ; les glaçons de l'absence
    Éteignant vos fureurs au point de leur naissance,
    Vous n'entrebattez plus de soupirs votre flanc,
    Vos artères d'esprits, ni vos veines de sang.
    En quoi ! la mort vous tient ? et ce front teint en cendre
    Vous marque les tombeaux où vous allez descendre ?
    Si vous pouviez encor revoir dedans les cieux
    ...