Aux vitraux diaprés des sombres basiliques,
Les flammes du couchant s’éteignent tour à tour ;
D’un âge qui n’est plus précieuses reliques,
Leurs dômes dans l’azur tracent un noir contour ;
Et la lune paraît, de ses rayons obliques
Argentant à demi l’aiguille de la tour
Et les derniers rameaux des pins mélancoliques
Dont l’ombre se balance et s’étend...