Qu'il erre sans repos, courbé dès sa jeunesse,
En des sables sans borne où le soleil renaisse
Sitôt qu'il aura lui !
Comme un noir meurtrier qui fuit dans la nuit sombre,
S'il marche, que sans cesse il entende dans l'ombre
Un pas derrière lui !
En des glaciers polis comme un tranchant de hache,
Qu'il glisse, et roule, et tombe, et tombe et se rattache...