L’incendie agonise au fond du palais sombre...
L’énigme de ma vie et celle de mon ombre
Côte à côte s’en vont sous les lambris éteints,
Et, des murs calcinés où la cendre s’effeuille,
Comme des mains de paix dont le geste m’accueille,
Sortent confusément les mains de nos destins.
Sous les plafonds obscurs, où tâtonnent nos lampes,
Des doigts...