Im schwarzen Gras
Kobolde gehn.
Im Windeswehn
schwer weint etwas.

5 Sag, was man spürt!
Der Hafer saust.
Den Wandrer graust,
vom Strauch berührt.

Löcher der Not,
10 nicht Häuser mehr,
weit, weit umher
loh’n Essen rot...

1. J'ai des maintes cités,
Contemplé les merveilles,
Leurs palais tant vantés
Aux splendeurs sans pareilles,
De ces beaux monuments,
Admirant la structure,
Je regrettais nos champs,
Et leur verte parure,
Qu'annonce le printemps.

Pays de...

Dans l'herbe noire
Les Kobolds vont.
Le vent profond
Pleure, on veut croire.

Quoi donc se sent ?
L'avoine siffle.
Un buisson gifle
L'oeil au passant.

Plutôt des bouges
Que des maisons.
Quels horizons
De forges rouges !
...