À Leconte de Lisle.
Quel est le but de tant d’ennuis ?
Nous vivons fiévreux, haletants,
Sans jouir des fleurs au printemps,
Du calme des nuits.
Pourquoi ces pénibles apprêts,
Ces labeurs que le doute froid
Traverse, où...
À Leconte de Lisle. Quel est le but de tant d’ennuis ? Pourquoi ces pénibles apprêts, |
Comme la vie est faite ! et que le train du monde L’autre, vrai docteur Faust, baigné d’ombre profonde, |