• Que suis-je, hélas ! et de quoi sert ma vie ?
    Je ne suis fors qu'un corps privé de coeur,
    Une ombre vaine, un objet de malheur,
    Qui n'a plus rien que de mourir envie.

    Plus ne portez, ô ennemis, d'envie
    A qui n'a plus l'esprit à la grandeur,
    Ja consommé d'excessive douleur.
    Votre ire en bref se verra assouvie.

    Et vous, amis, qui m'avez...