• La cloche matinale enfin a sonné l’heure
    Où les pâles Willis, qu’un jour trop vif effleure,
    Près du sylphe qui dort vont se glisser sans bruit
    Au cœur des nénufars et des belles-de-nuit ;
    Giselle défaillante avec de molles poses
    Lentement disparaît sous son linceul de roses,
    Et l’on n’aperçoit plus du fantôme charmant
    Qu’une petite main tendue à son...