O mains que nous avons baisées,
Mains de nos père et mère aux gestes triomphants,
O mains qui sur nos fronts ensoleillés d’enfants.
Tant de fois vous êtes posées !
Nous regrettons les bleus sommeils,
La maison qu’on oublie au bord des eaux limpides
Et qu’emplissaient de vols rythmiques et rapides
L’essaim des mensonges vermeils.
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