Parfois, lorsque hurle le vent,
De malheur, mon cœur se désole.
Des larmes vont, le ternissant…
Tant de regrets et nulle obole !
J’ai donc appris, destin cocasse,
À rire alors qu’il faut pleurer.
Oui, souffrir, soit ! Mais point de trace !
Chanter les pleurs qu’on veut verser !
Car à quoi bon lever les voiles ?
Le mal couvant sur les...