• Quand le vent automnal sonne le deuil des chênes,
    Je sens en moi, non le regret du clair été,
    Mais l'ineffable horreur des floraisons prochaines.

    C'est par l'avril futur que je suis attristé ;
    Et je plains les forêts puissantes, condamnées
    A verdir tous les ans pendant l'éternité.

    Car, depuis des milliers innombrables d'années,
    Ce sont des...