• La nuit, lorsque je dors et qu'un ciel inutile
    Arrondit sur le monde une vaine beauté,
    Quand les hautes maisons obscures de la ville
    Ont la paix des tombeaux d'où le souffle est ôté,

    Il n'est plus, morts dissous, d'inique différence
    Entre mon front sans âme et vos corps abolis,
    Et la même suprême et morne tolérance
    Apparente au néant le silence...