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    I

    Non, non, le dieu d’amour n’est point l’effroi des Muses ;
    Elles cherchent ses pas, elles aiment ses ruses.
    Le cœur qui n’aime rien a beau les implorer,
    Leur troupe qui s’enfuit ne veut pas l’inspirer.
    Qu’un amant les invoque, et sa voix les attire ;
    C’est ainsi que toujours elles montent ma lyre.
    Si je chante les dieux ou les héros, soudain...