. . . . . . Vous m’avez invité
À passer sous ce toit des semaines d’été ;
Et moi, pâle jeune homme accablé de la ville,
Qui me chargeait de mal, j’ai dans ce coin tranquille
Apporté, comme un pauvre, au rendez-vous du soir,
Mon bâton, ma fatigue et mon faix de pain noir.
Car aujourd’hui, sur tous les chemins de la France,
Se rencontrent beaucoup de...