Du ciel poli comme un miroir
Pleuvent les langueurs enflammées,
Et nous suivons, au cœur du soir,
L’irréel essor des fumées.
J’adore tes gestes...
Du ciel poli comme un miroir J’adore tes gestes... |
Un enfant élevé dans un pauvre village |
LA lune dans l’ombre Quelqu’un s’est miré
Et plus rien n’efface |
Dans le beau siècle d’or, quand les premiers humains, |
Si vous lisez ceste œuvre toute entiere, |
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<2> La dernière est une des plus jolies qu'on ait faites : c'est Laïs sur le retour, consacrant son miroir dans le temple de Vénus, avec ces vers : Je le donne à Vénus, puisqu'elle est toujours belle : |
Toutes les fois, miroir, que tu lui serviras « Je dormais reflétant les vers, que sur l’ivoire |
Miroir, peintre et portrait qui donnes, qui reçois, Tu peux seul me montrer, quand chez toi je me vois, |
Comme quand le ciel s'obscurcit |