L’aventurier, d’un sang plus pur qu’un sang royal,
Etant né de celui des belles républiques,
Appuie aux étriers d’airain ses pieds obliques,
Et, du bras gauche, enlève et retient son cheval.

II ouvre l’autre bras dans un geste loyal,
Ayant choisi, d’un cœur dévot à...