Quoi ! Vous êtes monarque, et vous m’aimez encore !
Quoi ! Le premier moment de cette heureuse aurore
qui promet à la terre un jour si lumineux,
marqué par vos bontés, met le comble à mes voeux !
ô coeur toujours sensible ! âme toujours égale !
Vos mains du trône à moi remplissent l’intervalle.
Citoyen couronné, des préjugés vainqueur,
vous m’écrivez...