Les vents sont accourus : leur troupe déchaînée
Déjà vers son déclin précipite l’année.
Déjà n’offrant par-tout qu’un aride coup-d’oeil,
L’automne se dépouille ; et la forêt en deuil,
Impuissante à garder un reste de verdure,
Sent mourir tous ses sucs liés...