• Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
    Et s'affermit encor plus longtemps qu'un plus fort)
    S'avance à tous moments vers le sueil de la mort,
    Et que mal dessus mal dans le tombeau me roule,

    Pourquoy tiendray-je roide à ce vent qui saboule
    Le Sablon de mes jours d'un invincible effort ?
    Faut-il pas resveiller cette Ame qui s'endort,
    De...