• C’est toi, dénaturée ! Oui, te voilà, c’est toi
    Qui fis taire ton cœur pour écouter ta foi,
    Qui, pour gagner ton ciel de larve et de chouette,
    Foulas ton âme aux pieds, mère sourde-muette,
    Et qui, lorsque ton fils se couchait en travers
    De ta porte, pleurant et les deux bras ouverts,
    Marchas sur ton enfant pour entrer dans le cloître.

    Quand l’amour...