DERNIERS VERS DE NOURRIT
Le cygne, lorsqu’il sent venir l’heure suprême,
En chants mélodieux
À la blonde lumiêre, au beau fleuve qu’il aime,...
DERNIERS VERS DE NOURRIT
Le cygne, lorsqu’il sent venir l’heure suprême, |
I Souffle, bise ! tombe à flots, pluie ! C’est moi qui suis l’esprit de l’âtre ! |