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    « Toi qui dans l’air léger lances d’un souffle pur
    La chanson de ta flûte en gammes vers l’azur
    Et qui, longtemps assis devant la mer sacrée,
    L’admires, tour à tour, rose à peine ou pourprée,
    Quand le soleil se lève ou tombe à l’horizon ;
    O toi, qui, pour rentrer, le soir, en ta maison,
    Suis ce sentier charmant qui va par la prairie
    Et qui s’...

  • Certes, il n’aimait pas à la façon des hommes,
    Avec des tresses d’or, des roses ou des pommes,
    Depuis que t’ayant vue, ô fille de la Mer,
    Le désir le mordit au cœur d’un trait amer.
    Il t’aimait, Galatée, avec des fureurs vraies ;
    Laissant...

  • Certes, il n'aimait pas à la façon des hommes,
    Avec des tresses d'or, des roses ou des pommes,
    Depuis que t'ayant vue, ô fille de la Mer,
    Le désir le mordit au coeur d'un trait amer.
    Il t'aimait, Galatée, avec des fureurs vraies ;
    Laissant le lait s'aigrir et sécher dans les claies,
    Oubliant les brebis laineuses aux prés verts,
    Et se souciant peu de l'immense...