• Ô toi qui fais séjour, orgueilleuse Sirène,
    Sur l'océan des pleurs des plus fermes amants,
    Qui fais briser ma nef sur des rochers d'aimant
    Où mon espoir flatteur me conduit et me mène,

    Hé ! verrai-je sans fin une espérance vaine
    Tromper mes tristes jours qui se vont consommant,
    Ne verrai-je jamais du repos à ma peine
    Près de vos yeux qui vont mes...