Les doigts lents de l’épreuve ont effeuillé les roses
Et dispersé l’espoir promis aux jours futurs,
Ô mon âme, le ciel est sourd, les temps sont durs,
Fais que ton rêve monte, au-dessus, loin des choses.
Les clairons de la gloire ont fini de sonner ;
Le dernier feu s’éteint sur la lande embrumée...
Cherche, pour y bâtir ton palais de fumée,
...