Kronos, roi du passé, père des jours à naître,
Seul des olympiens sur son trône est resté ;
L’impitoyable faux au tranchant redouté
Tremble éternellement dans les mains du vieux maître :
Sa barbe, que le feu des étoiles pénètre,
Sous ses flocons d’argent couvre l’immensité ;
Il jette aux dieux nouveaux un regard de côté,
Et se détourne d’eux, sans...