III
Par votre ange envolée ainsi qu’une colombe !
Par ce royal enfant, doux et frêle roseau !
Grâce encore une fois ! grâce au nom de la tombe !
Grâce au nom du berceau !
Par votre ange envolée ainsi qu’une colombe !
Par ce royal enfant, doux et frêle roseau !
Grâce encore une fois ! grâce au nom de la tombe !
Grâce au nom du berceau !
Louis, voici le temps de respirer les roses,
Et d’ouvrir bruyamment les vitres longtemps closes ;
Le temps d’admirer en rêvant
Tout ce que la nature a de beautés divines
Qui flottent sur les monts, les bois et les ravines
Avec l’...
— Allons, dit-elle, encor ! pourquoi ce front courbé ?
Songeur, dans votre puits vous voilà retombé !
À quoi bon pour...
I
La foule au seuil d’un temple en priant est venue ;
Mères, enfants, vieillards gémissent réunis ;
Et l’airain qu’on balance ébranle dans la nue
Les hauts clochers de Saint-Denis.
Le sépulcre est troublé dans ses mornes ténèbres.
La Mort de ces couches funèbres
Resserre les rangs incomplets.
...