XXVIII
Voyez-vous, un parfum éveille la pensée.
Repliez, belle enfant par l’aube caressée,
Cet éventail ailé, pourpre, or et vermillon,
...
XXVIII
Voyez-vous, un parfum éveille la pensée. |
Lorsque j'étais encore un tout jeune homme pâle, |
Quien no ama, no vive. |
Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle, |
Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir |
Je ne songeais pas à Rose ; |