X
Si vous continuez d'être ainsi toute pâle
Dans notre air étouffant,
Si je vous vois entrer dans mon ombre fatale,
Moi vieillard, vous enfant ;
Si je vois de nos jours se confondre la chaîne,
Moi qui sur mes genoux
Vous...
X Si vous continuez d'être ainsi toute pâle Si je vois de nos jours se confondre la chaîne, |
IXPoète, ta fenêtre était ouverte au vent, |
Pendant que la mer gronde et que les vagues roulent, Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la concorde ait son tour. Jadis, dans les temps noirs comme ceux où nous sommes, |
Les étoiles, points d'or, percent les branches noires ; |
Si vous continuez d'être ainsi toute pâle |
Pendant que le marin, qui calcule et qui doute |