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Chanteurs mélodieux, habitants des buissons, La nuit sereine monte, et roule sans secousse |
Chanteurs mélodieux, habitants des buissons, |
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Le sable rouge est comme une mer sans limite, Nulle vie et nul bruit. Tous les lions repus |
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Couronnés de thym et de marjolaine,
Du sentier des bois aux daims familier, |
Oriôn, tout couvert de la neige du pôle, |
Non moins roses que l’Aube, au bord des vastes ondes, |