Après ces cinq longs mois que j’ai passés loin d’elle,
J’interroge mon cœur ; il est resté fidèle.
En Mai, dans la jeunesse exquise du printemps,
J’ai souffert en songeant à ses beaux dix-sept ans.
Quand la nature, en Juin, de roses était pleine,
J’ai souffert en songeant à sa suave haleine.
En Juillet, quand la nuit peuplait d’astres les cieux,...