« Westminster ! Westminster ! Sur cette terre vaine
Suis-je toujours en butte aux clameurs de la haine ?
Avant d’avoir subi le jugement de Dieu
Suis-je au regard des miens toujours digne du feu ?
Hélas ! Mes tristes os languissent dans mes terres,
Mon domaine appartient à des mains étrangères,
Et l’on peut voir un jour les autans furieux,
...