Protectrice de ce qui s’efface et qui fuit,
Souveraine des bois, des sommets et des rives,
Toi qui prêtes un songe illusoire aux captives
Que le malheur inné de leur race poursuit,
Toi dont le regard froid et mystique traduit
Le pâle amour de nos âmes contemplatives,
Toi qui fais miroiter l’argent vert des olives,...