• Tout le repos, ô nuit, que tu me dois,
    Avec le temps mon penser le dévore :
    Et l'horloge est compter sur mes doigts
    Depuis le soir jusqu'à la blanche Aurore.
    Et sans du jour m'apercevoir encore,
    Je me perds tout en si douce pensée,
    Que du veiller l'âme non offensée
    Ne souffre au corps sentir cette douleur
    De vain espoir toujours récompensée
    ...