• Quand l'ennemi poursuit son adversaire
    Si vivement qu'il le blesse ou l'abat :
    Le vaincu lors pour son plus nécessaire
    Fuit çà et là et crie et se débat.
    Mais moi, navré par ce traître combat
    De tes doux yeux, quand moins de doute avois,
    Cèle mon mal ainsi, comme tu vois,
    Pour te montrer à l'oeil évidemment
    Que tel se tait et de langue et de voix...