Pourquoi crains-tu, fille farouche
De me voir nue entre les fleurs ?
Mets une rose sur ta bouche
Et ris avec moins de rougeur.
Ne sais-tu pas comme ta robe
Est transparente autour de toi
Et que d'un clair regard je vois
Ta sveltesse qui se dérobe ?...
|
Je ne suis pas bien du tout assis sur cette chaise |
Dans les champs |
La grande voix du vent |
Je veux ma maison bien ouverte, |
Ô mes yeux ce matin grands comme des rivières |
Leur coeur est ailleurs |
Je sors vous découvrir ailleurs les poètes |
Ah ! ce n'est pas la peine qu'on en vive |
Pourquoi, Seigneur, les hirondelles, |