Parsifal a vaincu les Filles, leur gentil
Babil et la luxure amusante — et sa pente
...

Chute des reins, chute du rêve enfantin d'être sage,
Fesses, trône adoré de l'impudeur,
Fesses, dont la blancheur divinise encor la rondeur,
Triomphe de la chair mieux que celui par le visage !

Seins, double mont d'azur et de lait aux deux cîmes brunes,
Commandant...

Bon pied, bon œil, or je ne les ai plus,
Puisque je rampe en vertu d’une arthrite,
Et que je vois si peu, grâce à l’invite
De verres à me trahir résolus ;

Mon estomac, jadis divin et plus,
Plonge — depuis quand donc ? — dans la pituite
Pour ne jamais, même...

Vers Saint-Denis c’est bête et sale la campagne.
C’est pourtant là qu’un jour j’emmenai ma compagne.
Nous étions de mauvaise humeur et querellions.
Un plat soleil d’été tartinait ses rayons
Sur la plaine séchée ainsi qu’une rôtie.
C’était pas trop après le Siège :...

Au pays de mon père on voit des bois sans nombre,
Là des loups font parfois luire leurs yeux dans l’ombre
Et la myrtile est noire au pied du chêne vert.
Noire de profondeur, sur l’étang découvert,
Sous la bise soufflant balsamiquement dure
L’eau saute à petits flots...

La luxure, ce moins terrible des péchés ;
Ces deux pires de tous, l’Avarice et l’Envie ;
La Gourmandise, abus risible de la vie ;
Toi, Paresse, leur mère à tous, à ces péchés,

Et la Colère, presque belle en sa hideur,
Avec de faux reflets d’héroïsme, on veut croire...

Couché dans l’herbe pâle et froide de l’exil,
Sous les ifs et les pins qu’argente le grésil,
Ou bien errant, semblable aux formes que suscite
Le rêve, par l’horreur du paysage scythe,
Tandis qu’autour, pasteurs de troupeaux fabuleux,
S’effarouchent les blancs...

XI

Petits amis qui sûtes nous prouver
Par A plus B que deux et deux font quatre,
Mais qui depuis voulez parachever
Une victoire où l’on se laissait battre,

Et couronner vos conquêtes d’un coup
Par ce soufflet à la mémoire...

Les plus belles voix
De la Confrérie
Célèbrent le mois
Heureux de Marie.
O les douces voix !

Monsieur le curé
L’a dit à la Messe :
C’est le mois sacré.
Écoutons sans cesse
Monsieur le Curé.

Faut nous distinguer,
Faut,...

J'abomine une femme maigre,
Pourtant je t'adore, ô Rita,
Avec tes lèvres un peu nègre
Où la luxure s'empâta.

Avec tes noirs cheveux, obscènes
A force d'être beaux ainsi
Et tes yeux où ce sont des scènes
Sentant, parole! le roussi,

Tant leur feu...