• Elle n’a pas perdu de son cœur un pistil,
    Ni du frêle tissu de sa corolle un fil ;
    La page ondule encore où sécha la rosée
    De son dernier matin, mêlée à d’autres pleurs ;
    La mort en la cueillant l’a seulement baisée,
    Et, soigneuse, n’a fait qu’éteindre ses couleurs,
    Mais ne l’a...