• Ce sont tes yeux tranchans qui me font le courage.
    Je veoy saulter dedans la gaïe liberté,
    Et mon petit archer, qui mene à son costé
    La belle gaillardise et plaisir le volage ;

    Mais apres, la rigueur de ton triste langage
    Me monstre dans ton coeur la fiere honesteté ;
    Et, condemné, je veoy la dure chasteté
    Là gravement assise et la vertu sauvage....