• Puisque c'est ton métier, misérable poète,
    Même en ces temps d'orage, où la bouche est muette,
    Tandis que le bras parle, et que la fiction
    Disparaît comme un songe au bruit de l'action ;
    Puisque c'est ton métier de faire de ton âme
    Une prostituée, et que, joie ou douleur,
    Tout demande sans cesse à sortir de ton coeur ;
    Que du moins l'histrion, couvert d'un...