À Leconte de Lisle.
Quel est le but de tant d’ennuis ?
Nous vivons fiévreux, haletants,
Sans jouir des fleurs au printemps,
Du calme des nuits.
Pourquoi ces pénibles apprêts,
Ces labeurs que le doute froid
Traverse, où nous trouvons l’effroi ?
Pour mourir après ?
Mais non. L’éternelle beauté...