• À mon ami Alfred Foulongne.

    Hao ! Hao ! c'est le barbier
    Qui secoue au vent sa sonnette !
    Il porte au dos, dans un panier,
    Ses rasoirs et sa savonnette.

    Le nez camard, les yeux troussés,
    Un sarrau bleu, des souliers jaunes,
    Il trotte, et fend les flots pressés
    Des vieux bonzes, quêteurs d'aumônes.

    Au bruit de son bassin de fer,...