élève d’Apollon, de Thémis, et de Mars,
qui sur ton trône auguste as placé les beaux-arts,
qui penses en grand homme, et qui permets qu’on pense ;
toi qu’on voit triompher du tyran de Byzance,
et des sots préjugés, tyrans plus odieux,
prête à ma faible voix des sons mélodieux ;
à mon feu qui s’éteint rends sa clarté première :
c’est du nord aujourd’hui...