Lorsque la lune vient pleurer
Sur les tombes des fleurs fidèles
Mon souvenir vient t'effleurer
Dans un enveloppement d'ailes.
Il se fait tard, tu vas dormir
Les paupières déjà mi-closes...
Dans l'air des nuits on sent frémir
L'agonie ardente des roses...
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Au retour de dure prison |
Les heurs crèvent comme une bombe ; |
A Claude Bectone, Dauphinoise. |
A l'heure du réveil des sèves |
Celle qu'adore mon coeur n'est ni brune ni blonde ; |
Les demoiselles de ce temps |
Brisez-leur pattes et vertèbres, |
Le crapaud noir sur le sol blanc |
Je les ai vus, je les ai vus, |