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    LORSQUE je vous aimais, j’avais le cœur en peine,
    Car je ne savais pas si vous reviendriez.
    Je souffrais ; ma souffrance alors n’était point vaine,
    Et j’étais consolé dès que vous paraissiez.

    J’avais de longs chagrins et des doutes sincères.
    Je croyais en vos yeux, puis je n’y croyais plus,
    Et, fou, je m’inventais d’innombrables misères :
    Je...