Nul regard, si perçant qu’il soit et si sublime,
Nul regard ne pourrait te sonder, noir abîme,
Où tonne l’ouragan !
Ni plonger dans ton sein que déchire et que lave
La vague d’un torrent qui bout comme la lave
Au creuset d’un volcan.
Jamais le jour n’y luit, jamais la blanche lune,
Quand elle glisse, au haut de la...