Bâti par des mains inconnues,
Un féerique palais, longtemps,
Ouvre au vent frais des avenues
Ses fenêtres à deux battants.
À chaque porte, en grand costume,
Sonnant du cor sur l'escalier,
Un page, selon la coutume,
Vante le seuil hospitalier.
Le suzerain de ce domaine,
Dans les salles de son palais,
En riche apparat se...