Quand au mouton bêlant la sombre boucherie
Ouvre ses cavernes de mort,
Pâtres, chiens et moutons, toute la bergerie...
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— « Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre,
Tu te plains, ô captif solitaire du seuil,
Que ce sépulcre à deux qui fera notre orgueil
Hélas ! du manque seul des lourds bouquets s’encombre.
Sans écouter Minuit qui jeta son vain nombre,
Une veille t’exalte à ne pas fermer l’œil
Avant que dans les bras de l’ancien fauteuil
Le suprême...