• J'ai détourné mes yeux de l'homme et de la vie,
    Et mon âme a rôdé sous l'herbe des tombeaux.
    J'ai détrompé mon coeur de toute humaine envie,
    Et je l'ai dispersé dans les bois par lambeaux.

    J'ai voulu vivre sourd aux voix des multitudes,
    Comme un aïeul couvert de silence et de nuit,
    Et pareil aux sentiers qui vont aux solitudes,
    Avoir des songes frais...