Savez-vous, gens de Paris,
Dont on voit les faces ternes
Sous des arbres rabougris
Où fleurissent des lanternes,
Quand, au long des boulevards,
Vous assiégez d’une lieue
Les gros drames, ces renards
Dont l’été coupe la queue !...
Savez-vous que le bon Dieu,
Chassant la brume morose,
Sur la toile du ciel bleu
Brosse...